La violence conjugale, ou violence domestique, désigne généralement la violence entre adultes, en particulier entre conjoints. La violence conjugale peut être physique ou psychologique. Le terme violence conjugale désigne tout comportement qui cause ou menace de causer un préjudice entre:
- Membres de la famille
- Les conjoints
- Résidents du même ménage
La maltraitance envers les enfants est parfois exclue du terme maltraitance domestique, qui est considéré comme sa propre catégorie. Cependant, toute forme de violence contre un membre de la famille est traitée sérieusement et est punie de manière très stricte si la victime procède à la justice.
Quelles sont les conséquences juridiques de la violence conjugale ?
Les affaires de violence conjugale impliquent souvent un certain nombre d’accusations criminelles, notamment des agressions sexuelles et viols. Si des accusations pénales sont portées contre le contrevenant, cela peut entraîner des sanctions pénales telles qu’une peine d’emprisonnement ou une peine de prison, ainsi que des amendes ou pertes de divers droits.
Comment la violence conjugale affecte-t-elle la victime?
La violence conjugale peut également avoir divers effets juridiques sur la victime ou l’agresseur. Un seul cas de violence conjugale peut souvent avoir des effets dramatiques sur la vie des personnes impliquées dans l’incident. L’assistance d’un avocat peut parfois être nécessaire pour aider la victime à régler les problèmes juridiques pouvant découler d’un incident de violence familiale. Le Centre d’Accueil d’Urgences des Victimes d’Agression peut vous accompagner tout au long des procédures judiciaires.
L’un des principaux effets est une modification de la garde des enfants et des ordonnances de visite. Le défendeur peut perdre ses droits de garde et se voir interdire de lui rendre visite. Bien que ce soit souvent pour la protection de l’enfant, cela signifie également que l’enfant ne pourra pas contacter son parent pendant un certain temps, ni même de manière permanente.
En outre, la violence conjugale a souvent pour effet que les victimes sont déplacées hors du département ou dans un refuge, encore une fois pour la protection de la victime. Ceci est courant dans plusieurs pays,si la violence conjugale implique des cas de harcèlement ou de harcèlement criminel. Dans certains cas, le défendeur peut être tenu responsable des coûts liés au déplacement physique de la victime.
Enfin, la violence familiale peut souvent entraîner de graves traumatismes émotionnels chez la victime, ainsi que chez les témoins de la conduite violente. Un juge peut alors recommander à la victime et / ou aux témoins d’assister à des séances de conseil ou de réadaptation.
Le recours au Centre d’Accueil d’Urgences des Victimes d’Agression
Crée en décembre 1999 par Sophie Gromb-Monnoyeur, le Centre d’Accueil d’Urgences des Victimes d’Agression reçoit annuellement dans les alentours de 5000 victimes d’agressions physiques ou sexuelles. Une grande majorité des patients sont des femmes. Comme son nom l’indique, la victime se dirigent vers le centre dans le but de prendre le soin médical et social nécessaire. En cas de recours à la justice, le centre accompagne la victime dans les procédures judiciaires en dévoilant un rapport détaillé sur les actes détectés.